De manière spécifique, leur cahier de charges portait sur les différents types de contrats en cours, dans la zone, les augmentations de salaires, les primes, et bien d’autres. La sécurité sociale et le problème de la sous-traitance constituaient également d’autres motifs de leur courroux. Dans le cadre de ce dernier, ils ont tout simplement demandé la suppression des contrats de sous-traitance et suggéré l’introduction de la nomination de délégués du personnel fiables, la considération des catégories socioprofessionnelles, ainsi que la création des syndicats au sein de chaque usine de la zone.
Pour démêler l’écheveau, l’Autorité Administrative de la Zone d’Investissement Spéciale de Nkok et GSEZ l’organe d’aménagement et de gestion de ladite Zone, ont convoqué une réunion d’urgence à laquelle, prenaient part la Directrice Générale du travail, Emilie Léocady MOUSSADJI, ainsi que les leaders des syndicats et les autres représentants des entreprises de la ZIS de Nkok. Après de vifs échanges, les différentes parties se sont accordées sur la mise en œuvre d’un plan de sortie crise à court, moyen et long terme.
Support authors and subscribe to content
This is premium stuff. Subscribe to read the entire article.